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La plage de Port-Blanc sur la côte sauvage de Quiberon
Ensuite il faut préparer tous ces vols pour anticiper et savoir ce que l’on cherche à photographier. Il s’agit bien sûr d’éviter de passer à côté de certains détails difficiles à repérer une fois en l’air, d’éviter aussi de se perdre, même si on suit le trait de côte cela peut arriver. J’utilise Google Earth pour faire un bon repérage, et bien sûr toute la littérature possible sur les régions que je vais survoler. Je rentre un tas de points GPS qui vont me permettre de me repérer pendant le vol et déterminer mes temps de parcours, de retour et de prendre parfois des options en vol pour modifier l’itinéraire en fonction de la météo en temps réel.